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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 17:34

c'est pas gagné !

 

Parfois les petits "rien" sont plus révélateurs que les grandes déclarations. Ainsi en est-il des cérémonies de voeux entre Charleville-Mézières et Sedan.
 
Dur pour un élu comme moi, convaincu de la nécessité d'un rapprochement entre nos deux capitales, d'être le même jour, mardi 8 janvier, avec Claudine LEDOUX à 17h30 à Charleville-Mézières et avec Didier HERBILLON à Sedan à 18h.
 
Peut-être aurait-on pu imaginer une cérémonie commune à Charleville-Mézières et à Sedan ? Cela aurait eu de l'allure, cela aurait fait des économies et cela aurait montré la voie.
A tout le moins, les dirigeants des deux villes auraient certainement pu se parler et se coordonner un peu. Tout cela n'est pas quand même pas de bon augure pour la suite.
Invitations voeux 2013
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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 00:01

concernant Thomé-Génot

 

Pour lire la réponse du courrier demandant l'état d'avancement de la procédure d'extradition à l'encontre des anciens dirigeants américains des Ateliers Thomé-Génot, veuillez cliquer sur l'image ci-dessous.

 

Icône Courrier

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 00:01

 

Les élus de Charleville ont beau nié l’évidence du déclin démographique de notre ville, celui-ci se confirme, hélas, chaque année.

 

L’INSEE vient ainsi de préciser (L’Ardennais du 2 janvier) que notre chef-lieu ne comptait plus que 49 810 habitants au 1er janvier 2012, soit une perte de 165 habitants en une année. Ceci fait tout de même un départ tous les deux jours, ce qui est un rythme assez affolant.

 

Nous voilà donc, hélas, de plus en plus nettement sous le seuil des 50 000 habitants.

 

Cependant, on cherche encore dans la politique municipale le début du commencement d’une stratégie de reconquête et d’attractivité. A force de dire que la population ne baisse pas tant que ça, Mme LEDOUX et ses collègues ont peut-être fini par y croire.

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 12:01

... concernant le parking Q-Park

 

Pour lire le courrier envoyé à Madame le Maire ayant pour sujet le retour à la fin de la gratuité du parking situé entre le Bowling et le Métropolis, veuillez cliquer sur l'image ci-dessous.

 

Icône Courrier

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 00:01

Philippe Pailla nous trompe

 

 

Répondant à mes propositions sur la sécurité, Philippe PAILLA fait preuve d’une très grande légèreté sur un dossier sensible et important (L’Ardennais du 31 décembre 2012).

 

Philippe PAILLA dit « nous avons fait mettre des caméras dans les endroits où nous avons repéré des risques répétitif : le parking souterrain, le site Salengro, le parking du Petit-Bois mais aussi dans les bus. »

 

Dans le parking souterrain et dans les bus, ce sont les sociétés exploitantes (Q-Parc et la SETAC) qui ont imposé les caméras et pas la Mairie. Le Premier Adjoint ne peut pas l’ignorer.

 

Restent le site de Salengro, le parking du Petit-Bois et je l’ajoute la déchèterie du Waridon. Dans ces 3 lieux là, après des années de tergiversations et de dégradations, la Mairie a fini par installer des caméras enregistreuses.

 

Mais il y a caméra et caméra.

 

La vidéo-protection que je défends, ce sont des caméras qui renvoient des images vers un central où un agent surveille ce qui se passe et peut, à tout moment, envoyer les forces de l’ordre ou les secours s’il constate ce qu’il se passe quelque chose d’anormal. C’est réactif, rapide et très dissuasif.

 

Les caméras enregistreuses utilisées par la Mairie, servent, elles, accessoirement à fournir les images de ce qui s’est passé après coup. C’est beaucoup moins efficace et très insuffisant.

 

Surtout, faut-il comprendre qu’il n’y a pas de problèmes répétitifs de dégradations, de tags ou de vols au centre ville ? Dans le quartier de la Citadelle ? A la Ronde Couture ? A Manchester ? Il ne faut pas être sur le terrain pour le croire. Il existe une insécurité là aussi. Et là aussi les Carolomacériens ont le droit d’être protégés.

 

Philippe PAILLA affirme encore « Il est illusoire de s’imaginer que tous les problèmes seront résolus par la vidéo-protection. On ne peut pas mettre une caméra devant chaque bâtiment ».

 

Il ne s’agit pas de tout régler par les caméras mais de permettre à la Police de travailler plus efficacement. Les caméras ne remplacent pas les policiers, elles les rendent plus performants encore dans la lutte contre la délinquance.

 

Quelques caméras suffiraient pour sécuriser de très larges parties des espaces publics de notre ville. Et si nous nous dépêchons, nous pouvons encore être aidés par l’Etat pour développer la vidéo-protection. Mais au rythme où les crédits se réduisent, cela ne durera plus longtemps.

 

Philippe PAILLA m’accuse, enfin, de « faire injure » aux Policiers municipaux. J’ai le plus grand respect pour le travail des agents de notre collectivité. Ce que je mets en cause, ce n’est pas ce travail, mais les directives données par les élus aux policiers municipaux à qui il est demandé de faire du chiffre en matière de verbalisation du stationnement.

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 17:07

À la suite du saccage en règle du relais des Restos du cœur et de la déchèterie de Savigny-Pré, Boris Ravignon se prononce en faveur de la vidéoprotection.

 

L'insécurité sera sans doute l'un des thèmes majeurs de la campagne des municipales, en 2014. Sans attendre cette échéance, Boris Ravignon vient de relancer le débat, indigné qu'il a été, comme beaucoup d'autres, par les récents saccages du relais des Restos du cœur, à la Ronde-Couture, et de la déchetterie de Savigny-Pré. « Au-delà de ces faits très graves et médiatisés », écrit le porte-parole de l'opposition municipale, « nombre de nos concitoyens sont régulièrement victimes d'agressions, de vols ou de ce qu'on appelle pudiquement des incivilités mais qui restent des délits : dégradations, tags, voitures brûlées ». Si Boris Ravignon reconnaît que les forces de police « font le maximum avec les moyens dont elles disposent », il estime en revanche que cette lutte contre l'insécurité relève aussi d'une volonté politique de la Ville.

 

« Pour dissuader efficacement les citoyens d'agir, la municipalité de Charleville-Mézières ne doit plus se désintéresser de la sécurité. Il n'est plus possible de dire, comme le fait Madame le maire, que la sécurité, c'est le problème de l'Etat et de la police ». La solution, pour Boris Ravignon, réside donc dans l'installation de caméras de vidéoprotection pour garantir la sécurité des personnes et des biens. « Dans le droit actuel, installer des caméras en ville n'est possible que si la municipalité le décide. Or, Mme Ledoux refuse les caméras pour des raisons idéologiques. Ce n'est plus admissible », dénonce le conseiller général de Charleville- La Houillère. Qui demande par ailleurs une autre utilisation de la police municipale : « Madame le maire ne peut pas continuer à utiliser la police municipale uniquement pour verbaliser les infractions de stationnement. Ce n'est pas le problème prioritaire de notre ville. Je souhaite que cette force de police soit rapidement réorientée vers la prévention de la délinquance aux côtés de la police nationale ».

 

Le premier adjoint Philippe Pailla, qui s'est rendu au relais des Restos du Cœur vendredi matin avec le directeur départemental adjoint de la sécurité publique, pour voir avec lui comment il serait possible de mieux sécuriser les lieux, dément pour sa part une quelconque posture idéologique au sujet de la vidéoprotection. « Je rappellerai simplement que nous avons fait mettre des caméras dans les endroits où nous avons repéré des risques répétitifs : le parking souterrain, le site Salengro, le parking du Petit-Bois mais aussi dans les bus. Je pense qu'il est illusoire de s'imaginer que tous les problèmes seront résolus par la vidéoprotection. On ne peut pas mettre une caméra devant chaque bâtiment ».
S'agissant de la police municipale, il rappelle que celle-ci n'a pas vocation à patrouiller de nuit (période au cours de laquelle la plupart des délits sont commis) avec la police nationale et qu'elle effectue déjà des missions de prévention dans la journée. « Un certain nombre de policiers patrouillent la journée. Ce serait leur faire injure que de dire qu'ils ne font que verbaliser ».

Bernard GIRAUD

L'Ardennais du 31 décembre 2012

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 00:01

...du Point rencontre handi'cap

 

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2012-12/2012-12-13/2012121350c9599039d27-0-699083.jpg

L'annonce de la fermeture du point rencontre Handi'cap de l'association La Sève et le Rameau a jeté le trouble et l'incompréhension. Sans fatalisme apparent, l'association vient d'organiser une journée d'échanges. La banderole « Joyeux Noël », apposée à l'entrée du local promis à fermeture au 31 décembre, semblait contraster avec le but de cette journée.
Sur place, on se refusait au fatalisme : « Il n'y a pas de résignation, nous ne lâcherons rien, car c'est un devoir moral de ne pas les abandonner », expliquait clairement l'un des bénévoles en évoquant les 24 usagers handicapés physiques, qui régulièrement fréquentent la structure. À l'évidence pourtant, rien ne semble pouvoir changer d'ici la date butoir. « Nous devons trouver un autre lieu moins onéreux pour poursuivre nos activités », poursuivaient Michèle Leluhant et Jean-Paul Chopart, vice-présidents de l'association.
Avec un déficit de 70 000 euros rien que pour l'année 2012, le fonctionnement du point rencontre alourdissait dangereusement le budget de l'association. « Au point rencontre, on développe des activités riches et variées. Des sorties aux activités manuelles, en passant par les échanges, c'était des réponses à des attentes exprimées. Ici, il y a plein de talents à promouvoir ! » assurent les bénévoles.
En invitant la population à venir sur place, la journée se voulait aussi un moment convivial où tout espoir ne serait pas perdu. La recherche d'idées novatrices était donc de mise en ce samedi. Boris Ravignon, vice-président du conseil général, présent lors de cette journée particulière, ne semble pas non plus fataliste. Tout en regrettant d'avoir été prévenu trop tard de la situation, il annonce qu'il va multiplier les rencontres dans les jours à venir pour trouver des solutions. Les deux salariés de l'association, les 24 usagers et l'équipe de bénévoles veulent encore y croire !
La bonne humeur apparente était donc de mise et la venue d'Adria et Serge Nuti, fondateurs de l'association en janvier 1983, ont ajouté un peu de baume au cœur des bénévoles.

 

 L'Ardennais du 13 décembre 2012

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 00:01

Inauguration du nouveau local

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2012-12/2012-12-12/2012121250c8050433c04-0-698514.jpg

La conférence Saint-Vincent-de-Paul, que préside Danièle Thomé, a trouvé un local beaucoup plus adapté à son activité que l'ancien site de la rue du Mess, lequel, situé au fond d'une impasse, n'était pas vraiment visible. La conférence vient d'emménager au 49 bis avenue de Saint-Julien et a ouvert son magasin, La boutique de Vincent.
« Ici nous sommes plus visibles et les distributions alimentaires se feront dans de meilleures conditions », explique la présidente. Le local, loué à un bailleur privé, est spacieux et agréable. La boutique est ouverte les mercredis, jeudis et vendredis de 14 à 17 heures. Une trentaine de bénévoles se relayent pour tenir le magasin. La conférence conserve par ailleurs deux locaux de 350 m2 chacun mis à disposition gratuitement par Espace Habitat. L'inauguration officielle de la boutique a eu lieu jeudi en présence de Boris Ravignon, conseiller général, et de Serge Duterque, conseiller municipal.

 

 L'Ardennais du 12 décembre 2012

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 14:06

Voici ma réaction suite à la future fermeture de l'association "La Sève et le Rameau" :

 

Depuis 2009, le conseiller général Boris Ravignon suit de près le dossier du SAVS. et a appris « incidemment » la très prochaine fermeture du point rencontre.


« J'ai été mis au courant de ce projet […] non par les responsables ni ceux de La Sève et le Rameau, ni ceux de l'Ugecam qui les finance, mais par les proches d'une personne fréquentant ce lieu. Sur la forme, il y a déjà de quoi être surpris car le conseil général est très investi dans les politiques ayant trait au handicap. Sur le fond, cette fermeture serait une catastrophe pour les dizaines de personnes handicapées qui fréquentent ce lieu et leur famille. Je ne peux pas accepter une telle décision en l'état », nous a-t-il expliqué.


Parallèlement, il a adressé un courrier au directeur de l'Ugecam Nord-Est, Serge Perez, afin qu'il donne des explications sur ce dossier. Il y rappelle que le conseil général verse environ 480.000 euros par an pour le SAVS et qu'en 2009, une aide exceptionnelle de 80.000 euros avait été déjà accordée pour permettre au point rencontre « de fonctionner dans l'attente de la mise en place du SAVS à compter du 1er janvier 2010. Pourquoi personne n'a cru bon de m'alerter ? » interroge-t-il encore, jugeant la façon de procéder plutôt « cavalière ».
Sur ce dernier point, le président Franck Le Bœuf a tout simplement expliqué être « épuisé. La structure existe grâce à seulement deux salariés (à une époque, ils étaient quatre, NDLR) et 25 bénévoles. Nous nous battons depuis 12 ans. »

 

L'Ardennais du 3 décembre 2012

 

 

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 10:30

mais pour faire quoi ?

 

Notre ville appartient depuis 2004, avec 9 autres communes périphériques, à une communauté d’agglomération dénommée « Coeur d’Ardenne ». Mme LEDOUX en est la Présidente, en plus de ses mandats de Maire de Charleville-Mézières et de Vice-présidente du Conseil régional. Il est naturel que les communes d’un même bassin de vie coopèrent entre elles. L’union fait la force. C’est pourquoi nous sommes favorables à l’élargissement de la communauté d’agglomération et au rapprochement avec Sedan.
Aujourd’hui, pourtant, un nombre important de communes des alentours refusent d’adhérer à l’agglomération de Charleville-Mézières, comme Warcq et Villers-Semeuse il y a quelques années. Pourquoi ces résistances ? Pour une raison très simple : la communauté d’agglomération, Coeur d’Ardenne, qui existe désormais depuis 8 ans, n’a tenu aucune de ses promesses, malgré le dévouement de ses agents.
La raison d’être de Coeur d’Ardenne, ce devrait être le développement économique. Qu’est-ce qui a été fait dans ce domaine depuis 8 ans ? A peu près rien. Les demandeurs d’emploi de notre ville peuvent hélas le constater. Les élus de Coeur d’Ardenne se sont même payé le luxe de faire échouer le projet d’une agence de développement économique des Ardennes qui visait à fédérer toutes les forces oeuvrant aux côtés des PME.
La création de l’agglomération devait permettre de faire des économies. Que nenni ! Après avoir saturé la capacité d’endettement de la Ville de Charleville-Mézières (80 millions d’euros sur nos épaules), Coeur d’Ardenne est aussi en train de s’endetter à grande vitesse : déjà plus de 15 millions d’euros ont été accumulés. Il faut dire que la communauté d’agglomération possède pas moins de 13 vice-présidents, dont 6 sont déjà des adjoints à Charleville-Mézières. La communauté d’agglomération devait être une locomotive pour le département. Elle est restée à quai… Les dettes s’accumulent. Nos concitoyens continuent massivement de partir et la plupart des communes des alentours font tout ce qu’elles peuvent pour ne pas nous rejoindre.
Plutôt que de chercher à obtenir de ses amis politiques au Gouvernement qu’ils mettent de force les communes périphériques dans une communauté d’agglomération élargie, Mme LEDOUX ferait bien de méditer sur les échecs accumulés par Coeur d’Ardenne, car ils sont aujourd’hui les premiers obstacles à son extension.

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