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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 00:01

Article paru dans L'Ardennais du 27 novembre

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2012-11/2012-11-27/2012112750b4447032bf5-0-690372.jpg

Cliquez sur la photo pour accéder à l'article publié sur le site de L'Ardennais

 

La solidarité ardennaise n'est pas un vain mot. Pour le prochain Noël ardennais des plus démunis, deux fois plus de jouets que l'an dernier seront distribués.

 

Daniel Schmitt n'est jamais aussi heureux que lorsqu'il peut rendre des enfants heureux. Et cette année, le président de l'association du Noël ardennais des privés d'emploi les plus démunis vit presque un conte de fées. Après le cambriolage de ses locaux, dans la nuit du 24 au 25 octobre (dont les auteurs ont été condamnés à 105 heures de travail d'intérêt général le 7 novembre dernier), Daniel Schmitt avait pris un coup au moral. Mais il n'est pas homme à baisser les bras, pas plus que tous les membres de l'association qui l'entourent d'ailleurs, et il a donc lancé un appel à la solidarité qui a été entendu au-delà de ses espérances. « Il y a quelques jours, j'ai appelé Dominique Lebrun, le directeur de Carrefour, pour lui dire qu'il me fallait cinq paniers garnis supplémentaires. C'est là qu'il m'a annoncé qu'il avait quelques palettes de jouets pour moi », se souvient Daniel Schmitt.

 

« Mardi, on s'est présenté à Carrefour avec deux voitures pour charger les jouets. Mais quand Rachid Haïf, l'adjoint de Dominique Lebrun, nous a montré les huit palettes, on a été sidéré. En valeur marchande, il y en a pour 14 000 euros. On a vite compris qu'il faudrait revenir avec un petit camion. » Ce que les responsables de l'association ont fait hier matin, pour aller stocker tous ces jouets dans un garage du chef-lieu, dans l'attente de leur distribution, le jeudi 27 décembre prochain. « Nous sommes partenaires de l'association », explique de son côté Rachid Haïf. « et pas seulement au moment de Noël. Le cambriolage, bien sûr, ça nous a touchés et ça nous a confortés dans notre volonté de faire un geste pour ces enfants. Il y avait une opportunité sur des volumes de jouets que nous avions depuis l'an dernier. On a décidé de les offrir. »

 

Ce don exceptionnel, ajouté à ceux des particuliers eux aussi touchés par le cambriolage, va permettre à Daniel Schmitt et à son équipe de multiplier par deux le nombre de jouets offerts cette année. « On va distribuer en tout 2 200 jouets, dont la moitié sera remise par le père Noël lors de la séance photo avec les enfants. L'an dernier, on en avait distribué 960 pour 673 familles inscrites. Cette année, nous avons 730 familles inscrites. » Les particuliers (ils ont été 43 à offrir des jouets et 12 à envoyer un chèque) et l'hypermarché Carrefour ne sont pas les seuls à avoir fait preuve de générosité. Le préfet des Ardennes a en effet fait parvenir à l'association un chèque de 2.000 euros, au titre de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. L'amicale des sapeurs-pompiers a également offert des jouets et la compagnie Fil à Io, qui se produira le 27 décembre, a décidé de faire don des recettes de plusieurs de ses spectacles à l'association.

Bernard GIRAUD

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 00:01
Raté « administratif » pour les trois Dom-Tom

Au cours de l'entretien, Boris Ravignon est également revenu sur l'oubli de trois départements (Nouvelle-Calédonie, Mayotte, Wallis et Futuna) dans le décompte des bulletins de vote des militants UMP. Sur la procédure de la Cocoe, il a rappelé que « les procès-verbaux des 650 bureaux étaient regroupés par département. Sur une feuille, nous avions une ligne pour les 95 départements, plus une ligne pour les ''Français de l'étranger et de l'Outre-mer''.»
Selon M. Ravignon, la faille serait d'origine « administrative. On nous a dit le dimanche soir à propos de cette ligne : ''C'est bon, tous les résultats sont là''. Les représentants des camps Fillon et Copé ont validé et on est passé à autre chose. » Une semaine plus tard, les regrets sont là : « On aurait dû avoir les PV. Aujourd'hui encore, je ne les ai jamais vus. Après, si certains ont réussi à comptabiliser quelque chose qu'ils n'ont jamais vu… »
Quant aux accusations de fraude lancées à de nombreuses reprises par les deux camps, l'élu ardennais a précisé que 72 des 96 résultats ont été validés « sans souci » par la Cocoe. « Dont celui des Français de l'étranger et de l'Outre-mer. Après, sur quatre-cinq bureaux, il y a eu de vrais litiges, avec par exemple, beaucoup plus de bulletins de vote que d'émargements, etc.
Et puis, pour citer un exemple où on a pêché par amateurisme, il y a eu un bureau où nos bénévoles ont tout simplement oublié de compter les émargements ! Forcément, dans un scrutin serré, ça crée le doute. C'est sûr que c'est moins grave d'hésiter entre 94,8 et 95,2 % qu'entre 49,8 et 50,2 %. »

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 14:12

Extrait de L'Ardennais du 26 novembre

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/ravignon-690037.png

Pour accéder à l'article au complet, veuillez cliquer sur la photo

  

ARDENNES. Il a vécu au plus près l’incapacité de l’UMP à élire son chef.Hier, l’Ardennais Boris Ravignon a livré ses impressions sur «la pire semaine de sa vie de militant».

 

Boris Ravignon, vice-président du conseil général des Ardennes*, n’en fait pas mystère: «J’ai vécu une des pires semaines de ma vie de militant». Membre de la Cocoe, la commission qui était chargée, dimanche 18 novembre, de valider le scrutin des militants UMP, il a vécu de l’intérieur le rocambolesque conflit pour la présidence du parti de droite.

Jeudi, un communiqué de la Cocoe reconnaissait ainsi que trois départements d’Outre-mer n’avaient «pas été pris en compte» avant de souligner que l’ajout des voix manquantes «aboutirait vraisemblablement à une inversion des résultats d’une vingtaine de voix» en faveur de François Fillon…

 

Hier matin, Boris Ravignon qui, pendant la longue campagne, ne s’était pas prononcé en faveur d’un des candidats, s’est confié avec franchise sur les heures compliquées que traverse son parti.

 

Depuis une semaine, comment avez-vous ressenti les militants ardennais croisés sur le terrain?

Comme partout, ils sont désolés voire dégoûtés de ce qui se passe. Ils perçoivent une guerre des ego. Lors du vote dans les Ardennes, je précise qu’il n’y a eu aucun problème recensé (Fillon l’a emporté avec 52 %, NDLR). Il n’y a pas depuis d’antagonisme chez les militants. L’immense majorité d’entre eux est engagée pour des idées et pour tenter de les faire partager. Là, ils voient qu’on est incapable de porter un message politique et ils sont tristes. Un seul militant m’a dit qu’il allait quitter l’UMP pour l’UDI (dirigée par Jean-Louis Borloo, NDLR). La demande des gens que j’ai croisés est claire: «Mettez-vous d’accord, laissez de côté les querelles personnelles». J’ai même entendu des gens favorables à M. Copé dire «Si c’est Fillon qui a gagné, c’est Fillon et c’est pas grave mais il faut avancer».

 

[...]

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 13:56

L’UMP pourra-t-elle rester le premier parti de droite d’opposition ?
A qui peuvent profiter ces luttes fratricides pour le pouvoir et quelles conséquences en Champagne-Ardenne ?
Quelles seront les répercussions sur les prochaines élections ?

 

Nicole Fachet reçoit des responsables politiques de la région pour en débattre : Catherine Vautrin, députée UMP de la Marne, qui soutient Jean-François Copé ; Benoist Apparu, député UMP de la Marne, qui encourage François Fillon et Boris Ravignon, conseiller général UMP, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy et membre de la Commission de Contrôle des Elections, la COCOE.

La Voix est Libre

Cliquez sur l'image pour accéder à l'émission du 24 novembre 2012

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 10:36

Boris et Patrick Fostier

De passage sur le parcours de la Confrérie de la Cacasse à Cul nu avec mon ami Patrick Fostier

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 10:03

« Ce projet de fermeture est totalement inacceptable. » L'élu évoque « un mépris total à l'égard du personnel et des pouvoirs publics français » et même « un viol de la parole donnée aux ouvriers, aux syndicats et aux élus de la Vallée de la Meuse. Comme tous les Ardennais le savent, Revin est le berceau de deux grandes marques du groupe Electrolux : Arthur Martin et Faure, qui n'ont jamais cessé de contribuer aux résultats du groupe d'électroménager. Laisser tomber l'usine historique où ces marques sont nées est immoral et injuste. » Boris Ravignon dit « souhaiter la mobilisation totale des collectivités locales et de l'Etat pour obtenir que le groupe suédois renonce rapidement à cette fermeture. »

 

Source : L'Ardennais du 23 octobre 2012

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 00:01

Boris Ravignon a confirmé hier qu'il se réservait « le droit de donner toutes les suites possibles aux propos mensongers du premier adjoint » (voir notre précédent article) concernant l'allusion de celui-ci aux indemnités perçues par les conseillers élyséens.
Il a rappelé qu'il avait proposé de suivre l'exemple du Président de la République et de son Gouvernement, qui ont réduit de 30 % leurs indemnités, une disposition qui s'appliquerait également aux neuf membres de son groupe. « Ce serait un vrai signe de solidarité et une économie bienvenue », ajoute le conseiller général en rappelant qu'il existe à Charleville-Mézières seize adjoints, soit autant qu'à la ville de Reims.
Pour conclure, le porte-parole de l'opposition décoche lui aussi une flèche en direction de Philippe Pailla, « qui a demandé en 2008 une augmentation massive, de l'ordre de 140 % de ses indemnités », décision qui avait été « fermement contestée » à l'époque par le groupe d'opposition.

 

Icône Journal

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 14:55

Au menu du conseil municipal hier, le débat d'orientations budgétaires a dégénéré quand il s'est agi des indemnités des élus. Boris Ravignon a menacé de porter plainte.

 

Quel que soit ce qu'a dit précisément Philippe Pailla hier lors du conseil municipal concernant les indemnités perçues par les conseillers élyséens une fois leurs cartons faits, Boris Ravignon l'a très mal pris. À tel point que l'ancien conseiller technique de Nicolas Sarkozy envisage d'« envoyer un avocat » au premier adjoint.

« C'est de la diffamation », a-t-il affirmé publiquement. « Salissez salissez… il en reste toujours quelque chose », a-t-il lancé avant que la maire Claudine Ledoux ne vienne à la rescousse de son premier adjoint en réfutant le terme de diffamation et « en proposant d'en rester là ».

Qu'est-ce qui a mis le feu aux poudres ? La proposition faite aux élus par le conseiller municipal UMP de suivre l'exemple du Président de la République François Hollande en baissant leurs indemnités de 30 % après avoir dénoncé les « incohérences » du budget à venir. Une solution, selon lui, pour diminuer la dette de la Ville qui passe de « 50 à 80 millions d'euros ». « Cessez de faire peur aux Carolomacériens dans un but strictement politicien », s'est fâché Philippe Pailla. « Vous arrêtez le tableau à la moitié en 2014, bien sûr au moment du pic d'emprunts. Nous créons les conditions d'un bon développement économique », a-t-il affirmé, rappelant les projets à venir comme la caserne Boutet.

« On sait à quelle école vous avez été formé », a pour sa part commenté Claudine Ledoux qui a dû revenir à la charge à plusieurs reprises pour défendre ses orientations budgétaires. « Le chômage, la chute de la population ne viennent pas de la politique de la municipalité, nous avons actionné tous les leviers possibles pour lutter car nous sommes volontaires. S'il y a de mauvais investissements, dites-nous lesquels et quel est le bon investissement. »

« Vous voulez supprimer quoi ? » a-t-elle demandé une dizaine de fois à Boris Ravignon dans une anaphore appuyée sur le modèle du « Moi Président » que François Hollande avait utilisée face à Nicolas Sarkozy lors du débat des présidentielles en mai dernier. Un discours qui a fait école, contrairement à l'idée de diminuer les indemnités des élus. Car ils ont été peu nombreux à répondre à ce qui était peut-être une provocation de la part du conseiller municipal UMP. Avant que Philippe Pailla ne s'engouffre dans la brèche, seul Raymond Stévenin s'est permis une suggestion : que Boris Ravignon soumette la même idée aux élus du conseil général.

 

Article de L'Ardennais du 18 octobre 2012 rédigé par Nathalie Diot

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 00:01

J'interpelle le Délégué Régional de La Poste sur l'avenir des bureaux de poste de Charleville-Mézières et notamment celui de La Houillère.

 

Icône Courrier

Cliquez sur le logo pour accéder à la lettre

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 00:01

Voici quelques photos de la remise des prix lors du dernier Sedan-Charleville qui a eu lieu dimanche dernier :

 

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