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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 11:26

À la suite des révélations d'hier concernant les menaces qui pèsent sur le 3e RG, la population et les élus (de droite surtout) se mobilisent. Ils redoutent un démantèlement progressif du régiment.

 

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Après la pétition de cet été, signée par près de 7 500 Carolos, place à la mobilisation cet automne. Des dizaines d'habitants et d'élus se sont rassemblés hier soir pour demander le maintien du « 3 » à Charleville-Mézières. Un mouvement plutôt bien suivi, lorsqu'on sait que l'appel à manifester n'a été lancé que vers midi, essentiellement via les réseaux sociaux.

 

Sous le titre « Ne pas faire mourir le 3e Génie à petit feu », la députée Bérengère Poletti et le candidat de la droite aux municipales à Charleville, Boris Ravignon, ont également fait circuler un communiqué en faveur du « 3 ». Une réaction qui fait suite aux révélations parues hier dans nos colonnes, indiquant que l'État-major des armées envisagerait de supprimer le « 3 ». « Nous tenons à renouveler notre mécontentement et notre colère, attaquent les deux élus, concernant le report de notre rendez-vous au ministère de la Défense (décalé du 25 septembre au 2 octobre, soit après la prise de décision, ndlr), alors que seuls les élus socialistes du département ont été reçus. En 2008 les élus de la majorité avaient associé tous les élus, quelle que soit leur sensibilité, pour défendre ce régiment. » Bérengère Poletti et Boris Ravignon se disent tout aussi « offusqués » par les considérations politiques de certains (évoquant le « risque » d'un basculement à droite de la ville si la gauche venait à fermer le régiment carolo). En marge du rassemblement hier soir, Boris Ravignon enfonçait le clou : « Si jamais on ferme le 3, ce n'est pas un boulevard pour la droite, c'est juste une catastrophe pour la ville ! »

 

Surtout, le texte qu'il cosigne avec Bérengère Poletti évoque le scénario noir qui circule, à Paris comme à Charleville, concernant l'avenir du « 3 ». Selon différentes sources, dans un premier temps, le régiment pourrait perdre sa base de défense, soit une centaine de militaires et de civils rattachés au 3 et assurant des fonctions supports (logistique, restauration, administration…). Puis, dans les années à venir (la nouvelle Loi de programmation militaire court de 2014 à 2019), des compagnies composant le régiment pourraient disparaître. Pour mémoire, le préfet des Ardennes, rappelé en urgence hier soir à Paris, confiait lundi : « la question du maintien du 3e Génie ne se pose pas à court terme » (c'est évidemment la fin de la phrase qui compte). Les élus UMP craignent ainsi « une extinction à petit feu de la présence militaire dans les Ardennes ». « Dans un premier temps, il semblerait que la réorganisation du groupement de commandement nous priverait de la présence de dizaines de militaires et de leur famille (la base de défense, ndlr). C'est précisément sur ce point que nous souhaitons discuter avec le ministre. » On devrait finalement en savoir plus avant leur tête à tête. Le ministre de la Défense doit s'exprimer lundi ou mardi sur les restructurations à venir.

 

Article de L'Ardennais du 28 septembre 2013

Auteur de l'article : Guillaume Lévy

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 14:24

... repoussée à l'automne.

 

Le soutien des Carolomacériens au 3e RG a abouti, vendredi matin, à la remise à l'Élysée d'une pétition signée près de 7 000 fois. De son côté, le gouvernement a reporté l'annonce des fermetures de régiments à la rentrée, voire à 2014.

Elysee-2-Aout.jpg

Exactement 6933. C'est le nombre de signatures récoltées, en trois jours et demi, par la pétition initiée par le conseiller général (UMP) Boris Ravignon. Celle-ci circulait depuis lundi sur Internet, où elle a été « signée » 1500 fois. Puis, à partir de mardi, les Carolos l'ont découverte un peu partout en ville, en particulier dans les commerces (grandes surfaces et petites boutiques).

En faisant le décompte des signatures jeudi soir, les équipes de Boris Ravignon ont elles-mêmes été étonnées par l'ampleur du mouvement. Le candidat de la droite aux prochaines municipales à Charleville reconnaît avoir été « surpris ». « Comme je me doute que certains élus vont penser que les chiffres ont été gonflés, tout a été compté et recompté, pour éviter toute erreur ou tout doublon. »

 

II apparaît que le texte, intitulé « Défendons le 3e régiment du Génie à Charleville-Mézières », a été largement relayé par les commerçants. Pour ne citer qu'un exemple, au Foubourg de Pierre, la pharmacie Saint-Louis a sensibilisé ses clients au point de récolter 190 signatures. Autre surprise : l'ANTS (Agence nationale des titres sécurisés) a obtenu près de 50 paraphes.

Vendredi matin, Boris Ravignon, quelques membres de son équipe et la députée Bérengère Poletti se sont rendus à Paris, porteurs d'un colis volumineux renfermant toutes les pétitions. Le paquet, portant la mention « À l'attention de M. le président de la République, chef des Armées », a été remis à 10 heures à l'Élysée, à un collaborateur de la directrice de cabinet de François Hollande. Si les initiateurs de la pétition tenaient absolument à être présents vendredi aux portes du Palais, c'est que se tenait, au même moment, un conseil des ministres très attendu. À l'ordre du jour figurait en effet la Loi de programmation militaire.

 

Dans l'attente des décisions gouvernementales, Boris Ravignon se dit « persuadé que ce mouvement de soutien très massif des Carolomacériens pour sauver le 3e Génie, va peser dans les choix qui seront faits. Lorsqu'on voit que 7000 personnes, en plein cœur de l'été, et en seulement trois jours, signent une telle pétition, on mesure à quel point les Ardennais sont attachés au régiment. »

À noter que l'élu UMP avait « invité » tous les élus de Charleville (mairie et conseil général), y compris donc ceux de gauche, à l'accompagner à Paris. Aucun n'a fait le déplacement. Seul Pierre Pandini s'est fait excuser.

 

Article de L'Ardennais du 3 août 2013, par Guillaume LÉVY

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 12:46

« Monsieur le Président de la République : maintenons le 3e Régiment du Génie à Charleville-Mézières ! » Telle est la première phrase de la pétition que le conseiller général (UMP) Boris Ravignon, candidat aux prochaines élections municipales au chef-lieu, a mis en ligne hier après-midi. « Les Ardennes, poursuit l'élu, sont une terre marquée par l'histoire militaire de notre pays. L'Armée y a toujours été présente. Le 3e Régiment du Génie est implanté à Charleville-Mézières depuis 1947. Ce régiment représente plus de 1 200 emplois directs pour les Ardennes et son chef-lieu.

Les militaires et leurs familles participent à la vie locale, au commerce et aux services publics. Or les informations actuelles indiquent que le 3e Régiment du Génie pourrait être supprimé ou transféré ailleurs. Cette décision, apparemment imminente, est inacceptable. Nous devons nous mobiliser tous ensemble pour garder « notre » régiment à Charleville-Mézières. »

Quelques heures après avoir été mise en ligne (*), la pétition avait déjà été signée par plus de 150 internautes. Elle doit être imprimée aujourd'hui ou demain, afin d'être proposée aux Carolos et aux Ardennais dans la rue, sur les marchés, etc. Dans un communiqué, Boris Ravignon se dit « extrêmement inquiet des conséquences humaines, économiques et sociales qu'aurait une telle décision […].

L'heure est venue de travailler ensemble pour l'intérêt général. J'écris immédiatement à l'ensemble des élus de Charleville-Mézières, pour les informer de ma démarche et pour leur proposer d'unir nos forces. C'est collectivement que nous porterons le mieux notre opposition à la perspective de cette fermeture, jusqu'au Chef des Armées qu'est le Président de la République. »

 

* Déposée sur le site www.change.org/petitions.

Article de L'Ardennais du 30 juillet

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 10:12

Resserrer les liens entre voisins

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À la Bosse d'Etion, sur les hauteurs de Charleville-Mézières, une fête de quartier s'est déroulée samedi dernier, en début de soirée, à la croisée des rues du Curé-Meslier et de la rue Pierre-Plateau. « Ce moment de rencontre et de détente entre riverains a été initié il y a dix ans par les habitants », explique Véronique Poggioli.
Elle a rassemblé une quarantaine de personnes autour d'un apéritif ? suivi d'un repas sous des chapiteaux prêtés gracieusement par la Ville. Christophe Léonard, député PS des Ardennes, Boris Ravignon conseiller général du canton de la Houillère ainsi que Philippe Pailla, premier adjoint à la Ville étaient de la partie.
Les habitants ont profité de la présence de ce dernier pour demander l'installation d'un boulodrome. Une façon de prolonger le bon voisinage et d'entretenir l'amitié entre des habitants qui occupent une rue portant le nom d'un peintre ardennais (Pierre Plateau) et l'autre portant le nom d'un curé athée, anticlérical et philosophe du XVIIe siècle. Et, à l'évidence, coïncidence totalement fortuite, les habitants se sont réunis un 15 juin, date anniversaire de la naissance du plus illustre curé des Ardennes ! « On ne le savait absolument pas », reconnaît Jean Lobo, responsable de l'organisation.
Sans doute une manifestation de l'esprit des Lumières…

 

Article de l'Ardennais du 19 juin

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 11:12

Boris Ravignon a annoncé officiellement hier sa candidature à la mairie de Charleville-Mézières. Elle débutera par une consultation des habitants de la commune jusqu'à septembre prochain.

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Cliquez sur l'image pour accéder à l'article

 

« Il y a des moments où il faut se décider et c'est le jour… je suis candidat aux élections municipales de mars 2014 », annonce Boris Ravignon lors d'une conférence de presse qui s'est tenue, hier matin, dans les locaux du bar Le Briand. Entouré d'une dizaine de sympathisants, l'homme qui assure aujourd'hui les fonctions de conseiller général et de conseiller municipal dit avoir « réfléchi beaucoup » et estime que « Charleville-Mézières souffre terriblement de l'emploi, de l'insécurité et de la pression fiscale depuis un certain nombre d'années » et que « les solutions apportées ne sont pas à la hauteur des enjeux ».

Aussi, l'élu municipal brigue-t-il la direction municipale avec la volonté affichée « de redynamiser la ville ». Bérengère Poletti, député UMP des Ardennes, venue apporter son complet soutien, renchérit en soulignant « qu'il est temps que le département ait un chef-lieu avec à sa tête quelqu'un de dynamique ». Après l'annonce, en mai dernier, de l'alliance avec le Modem, représenté par Darkaoui Allaoui, l'équipe de Boris Ravignon et son équipe se met donc en ordre de bataille. Avec un début de campagne que le candidat n'a pas voulu retarder davantage, « afin de prendre le temps d'aller à la rencontre des habitants pour entendre leurs difficultés et leurs souhaits pour la ville ». Pour l'heure, il n'y a pas de programme défini, « même si nous avons, bien sûr, un certain nombre d'idées ».

La démarche consistera, dans un premier temps, pour le candidat, à aller à la rencontre des habitants. « Ce projet nous voulons le bâtir avec les Carolomacériens. » Pour ce faire, un questionnaire sera envoyé très prochainement dans les 20 000 boîtes aux lettres des habitants de la commune dans lequel les administrés sont interrogés sur leurs attentes et leurs souhaits.

« Notre présence sur la ville et dans les quartiers sera forte dès maintenant jusqu'à septembre prochain », prévient le candidat qui insiste, par ailleurs, sur le fait que son engagement « n'est pas politicien, mais pour Charleville-Mézières ». Ensuite, au terme de cette consultation jusqu'à fin septembre 2013, Boris Ravignon se lancera dans l'élaboration de son programme qui devrait être divulgué à la fin de l'année 2013. Enfin, une 3e étape, prévue en début de l'année prochaine, portera sur l'annonce des 45 membres de la liste qu'il compte mener pour les élections. Avec l'intention de brasser large. « Nous voulons une équipe qui rassemble mais aussi qui ressemble aux habitants de ville », insiste l'élu qui veut s'appuyer sur des personnes « de bonne volonté prêtes à dépasser les questions de clivages politiques, car cela va tellement mal à Charleville-Mézières qu'il faut toutes les forces pour s'unir. » Le candidat se donne neuf mois pour gagner la confiance des Carolos.

 

Auteur de l'article : Carl Hocquart / L'Ardennais du 8 juin

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 12:41

À l'invitation d'Ardennes Initiative, plusieurs créateurs ou repreneurs d'entreprises ont reçu dernièrement un chèque du conseil général. Cette remise de chèques, qui a eu lieu en présence de Boris Ravignon, vice-président de l'assemblée départementale, est destinée à renforcer leurs fonds propres.

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2013-05/2013-05-29/2013052951a5760a8d16f-0-782027.jpg

Valérie Charlier a reçu une subvention de 5000 euros pour la création d'un atelier d'usinage à Charleville-Mézières, Peggy Triqueneaux a reçu une subvention de 5000 euros pour la création d'une activité de restauration à Nouvion-sur-Meuse, Jérôme Gatine a reçu une subvention de 5600 euros pour la création d'une activité de couverture zinguerie à Carignan, Jessica Jelu a reçu une subvention de 5000 euros pour la reprise d'un commerce Proxi à Vivier-au-Court, Timothé Cordier et Jean-Loïc Garcia ont reçu chacun une subvention de 1500 euros pour la création d'une agence de communication et de publicité à Charleville-Mézières, Pascale Bonnenfant a reçu une subvention de 5000 euros pour la reprise d'une restauration traditionnelle à Sault-lès-Rethel, Allal Rouane a reçu une subvention de 1660 euros pour la création d'une activité de chaudronnerie d'art à Revin, Soraya Ouamara a reçu une subvention de 1200 euros pour la création d'un institut de beauté à Charleville-Mézières, Cécile Goiset a reçu une subvention de 5000 euros pour la création d'une activité de vente d'accessoires et prestations pour animaux à Vouziers, Stéphanie Laporte a reçu une subvention de 3200 euros pour la reprise d'une papeterie à Carignan.

 

 

L'Ardennais du 29 mai

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 17:00

Hier, le conseiller municipal d'opposition Boris Ravignon a réagi à cette agression en souhaitant que les fauteurs de troubles soient rapidement identifiés, jugés et punis.
"Dans un département où existe une véritable tradition de la bière", a-t-il fait valoir, "la fête de la bière de Charleville-Mézières est un évènement qui possède toute sa place. Je regrette sincèrement l'incapacité de la municipalité à garantir la sécurité de cette grande manifestation populaire. Il y a quelques années, la fête de la bière avait été déplacée de la place Ducale au parc des expositions, déjà parce que la sécurité ne pouvait soi-disant y être assurée. Aujourd'hui, le centre-ville a perdu l'une de ses animations mais la sécurité n'est manifestement pas mieux garantie au parc."

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Article de L'Ardennais du 20 mai

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 00:01

Le caporal François Moulin avait été tué au combat le 9 novembre 1918 en libérant Harcy. La commune lui a rendu hommage en donnant son nom à une rue.

http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2013-05/2013-05-12/20130512518f099dee305-0-774041.jpgCliquez sur l'image pour lire la suite de cet article

 

Décédé il y a plusieurs années, André Mauviel avait dix ans en 1918, lors de la libération du village d'Harcy. Ses souvenirs concernant cette période avaient été recueillis.
« Le 9 novembre », avait-il confié, « je suis au coin du feu. Soudain, une brève rafale de mitrailleuse me fait tressaillir, puis des coups de feu. Je réalise que le combat est engagé pour notre libération. Le bruit de la fusillade s'amplifie et les soldats français dévalent la grand'ruelle. Ma mère et moi sommes fort émus. Nous embrassons ces braves en pleurant de joie. Ils nous disent qu'ils sont arrivés par le chemin de Bogny, qu'ils ont deux caporaux tués et un lieutenant blessé ».
Le caporal François Moulin, du 338e régiment d'infanterie, est l'un des deux soldats tués au combat. Né le 7 mars 1919 à Saint-Hilaire-la-Croix, dans le Puy-de-Dôme, il n'avait jusqu'alors jamais eu de reconnaissance officielle de la part de la commune.

La plaque dévoilée par son petit-fils

 

L'Ardennais du 12 mai 2013

Auteur : Bernard GIRAUD

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 13:54

une bouffée d'oxygène pour l'emploi


http://www.lunion.presse.fr/media/imagecache/article-taille-normale/protec/2013-04/2013-04-25/201304255178a295b29e4-0-766226.jpg

 

C'est Boris Ravignon qui a communiqué hier cette « bonne nouvelle bonne pour l'emploi » dans les Ardennes : après 30 mois de procédure, le conseil d'administration de Voies Navigables de France a choisi en effet le groupe d'entreprises emmené par Vinci et auquel participe la société Urano pour mener à bien « la rénovation de 29 vieux barrages (23 sur la Meuse, 6 sur l'Aisne) ».

« A l'automne 2010, j'avais obtenu que le ministère du Budget autorise VNF à lancer un appel à candidature pour la conclusion d'un partenariat destiné à rénover ces barrages, (c'est-à-dire) remplacer ses anciens barrages « à aiguilles », dangereux pour les agents, par des barrages automatiques, plus sûrs et plus rapidement adaptables en cas de crue, comme ceux déjà reconstruits à Monthermé et à Givet », se plaît à rappeler, comme c'est l'usage, le vice-président UMP du Conseil général…

Le chantier est colossal, puisqu'évalué à 200 millions et « va profiter doublement à l'emploi et à l'économie ardennaise. En effet, 19 des 29 barrages (Alma, Villers-devant-Mouzon, Dom-le-Mesnil, Romery, Mézières, Montcy-Notre-Dame, Joigny, Levrézy, Petite-Commune, Dames de Meuse, Orzy, Saint-Nicolas, Saint-Joseph, Uf, Vanne-Alcorps, Fépin, Montigny, Mouyon, Ham-sur-Meuse) se trouvent sur la partie ardennaise de la Meuse. En plus, ce sont une entreprise locale et des salariés ardennais qui vont directement profiter de ces travaux », a encore insisté Boris Ravignon.

Qui note au passage que le chantier dont on ne connaît pas l'échéancier encore respectera « l'environnement et la faune (aménagement de passes à poissons) » et que « certains barrages seront équipés de petites centrales hydroélectriques permettant la production d'électricité renouvelable ».

Quatre groupes d'entreprises étaient en concurrence. Pour la société Urano et ses centaines de salariés, confrontés comme tout le secteur du BTP et Travaux publics à un contexte plus délicat suite notamment à une baisse des commandes publiques, voilà qui est synonyme de bouffée d'oxygène.

 

L'Ardennais du 25 avril

Auteur : PH. M

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 17:58

Article paru dans L'Ardennais du 17 mars :

 

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Le premier forum « Partageons la route » a eu lieu hier après-midi sur la place Ducale, sous la forme d'un village associatif qui a réuni une dizaine de stands.

 

Au cours de l'été 2012, deux cyclistes ardennais ont trouvé la mort sur les routes du département. Deux dramatiques accidents qui démontrent la nécessité d'apprendre à partager la route.
C'est en partant de ce constat que la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations et la commission départementale de sécurité routière ont imaginé un forum associant plusieurs associations sportives afin de sensibiliser tous les usagers de la route.
Ce premier forum du genre a été inauguré hier à 14 heures sur la place Ducale par le préfet Pierre N'Gahane, accompagné de plusieurs élus (dont le sénateur Marc Laménie, les députés Bérengère Poletti et Christophe Léonard ou encore le maire de Charleville-Mézières Claudine Ledoux), de Daniel Bouriaud, procureur de la République, et du commissaire divisionnaire Eric Krust, directeur départemental de la sécurité publique.

Le petit groupe a pu ainsi s'entretenir avec les différents comités départementaux ou associations réunis pour ce forum. Le vélo était bien sûr très bien représenté avec la présence de l'Union vélo club Charleville-Mézières (UVCCM), du comité départemental de cyclisme, du comité départemental de cyclotourisme, du Charleville Triathlon Ardennes, de l'Ufolep, du comité départemental handisport ou encore de l'Arenam, qui donne une seconde vie aux vélos réformés des facteurs pour les proposer ensuite à la location.
Commission départementale de la sécurité routière, comité départemental olympique et sportif, service jeunesse, sports et vie associative et police municipale faisaient aussi partie des invités. Afin de mieux faire passer le message, plusieurs responsables associatifs avaient revêtu un gilet de sécurité jaune portant l'inscription «Partageons la route».

Ce gilet sera désormais remis aux signaleurs qui encadrent les nombreuses manifestations cyclistes ayant lieu dans le département. Afin que la sensibilisation à la sécurité routière ne soit pas que l'affaire d'une journée.

 

Bernard GIRAUD

 

Cliquez sur la photo pour accéder à l'article et au site de L'Ardennais

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